Une attaque ciblée a touché douze stations de recharge électrique Tesla dans un grand centre commercial de Saint-Chamond, en France. L’incendie volontaire, survenu durant la nuit de mercredi à jeudi, a gravement endommagé ou détruit ces installations coûteuses. Une phrase provocatrice peinte sur le sol indiquait une possible motivation politique ou économique. Cette action intervient alors qu’un tiers des Français boycottent certains produits américains suite au retour de Donald Trump à la présidence.
En cette fin d'automne sombre, un parking situé à proximité d'un grand magasin de Saint-Chamond est devenu le théâtre d'une scène troublante. Vers deux heures du matin, un incendie a ravagé plusieurs équipements essentiels pour les véhicules électriques. Parmi les douze dispositifs Tesla installés là-bas, deux ont été réduits en cendres, tandis que les autres présentent des dommages irréversibles. Le coût estimatif de chaque borne dépasse largement les dizaines de milliers d'euros.
Aux abords du site sinistré, une inscription énigmatique, "Campagne anti-Tesla, bornes to burn", a attiré l'attention des enquêteurs. Cette mention suggère peut-être une protestation contre les marques associées à Elon Musk, qui font face à un regain de méfiance en Europe. Pour l'instant, aucune arrestation n'a encore eu lieu dans cette affaire complexe.
Cet acte vandaliste soulève de nombreuses questions sur les tensions croissantes entre consommateurs et entreprises technologiques mondiales. En tant que journaliste, il semble crucial de comprendre pourquoi une telle agression contre des infrastructures écologiques pourrait être perçue comme justifiée par certains individus. Ce geste radical reflète peut-être une frustration plus large liée aux politiques économiques internationales ou à l'image controversée de certaines grandes entreprises américaines aujourd'hui.