En ce qui concerne le marché automobile électrique, les dernières statistiques montrent une baisse significative des ventes. Avec une diminution de 19% des immatriculations entre mai 2024 et mai 2025, les constructeurs français comme Citroën et Renault se disputent la place de leader malgré un contexte difficile. Ce ralentissement s'explique par plusieurs facteurs, dont l'hésitation des consommateurs face aux changements dans les politiques publiques et leur attente pour de nouvelles offres de leasing prévu pour septembre. Malgré tout, certains modèles tels que la Citroën ë-C3 ont connu un succès notable.
Au cours d'une période marquée par l'incertitude économique, les chiffres révèlent un recul important du marché automobile électrique en France. En mai 2025, seulement moins de 20 000 véhicules électriques ont été immatriculés, soit une baisse de 19% par rapport à l'année précédente. Dans ce climat morose, certaines marques françaises tirent leur épingle du jeu. Ainsi, la Citroën ë-C3, avec ses 1 500 immatriculations, domine le classement devant la Renault 5 et le Scénic. Parmi les autres performances remarquables figurent le Skoda Elroq ainsi que la BYD Dolphin Surf.
Les experts soulignent que cette tendance est temporaire, attribuant cette prudence des acheteurs potentiels aux modifications des politiques publiques concernant les incitations financières. De plus, beaucoup attendent l'arrivée de nouveaux contrats de leasing électrique prévue pour septembre.
D'un point de vue journalistique, ces données nous rappellent combien le secteur automobile reste vulnérable aux fluctuations économiques et politiques. Cependant, elles démontrent également une capacité d'adaptation des constructeurs et une demande latente qui pourrait exploser dès l'apparition de nouvelles opportunités commerciales. Cette situation invite à la patience et à l'optimisme quant à l'avenir du véhicule électrique en France.